Présentation Tortuh

Bonjour,

Tortuh, un vieux, je joue a TESO occasionnellement juste pour le plaisir et pourvoir de temps en temps faire du RP. J'ai commencé en tant que mercenaire dans le Régiment perdu mais leur RP est basé sur Meridia et les Lamae alors que celui du "seul" perso que j'ai. Oui ça fait pas longtemps que je joue à TESO ^^p.

Mon perso s'appelle Guihelm le Druide et s'il faut passer par une candidature RP écrite pas de soucis. Ou on peut aussi "se croiser" IG, c'est comme vous voulez.

Bon jeu à tous.

Bonjour, et bienvenu à toi, perso j'adore les présentation RP, après tu fais comme tu veux, on finira bien par se croiser sur discord.

Previens quand tu l'auras installé, je te filerai une invitation.

Bienvenu chez nous !

Bienvenue parmis nous.

Merci pour l'accueil !
J'ai discord d'installé. Mon pseudo c'est tortuh.

Pour ce qui est du RP vous préférez quoi ? Une présentation du BG du perso ou une lettre de candidature ? ^^p

Parce que très honnêtement, j'ai fait dans le grand classique avec mon unique perso : mage bréton tendance écolo et membre de la guilde des mages. Donc, tout me va et c'est normal de le faire.

Personnellement je préfère un BG, après fais comme tu le sens, si tu veux y intégrer une présentation RP aux portes de notre Ordre, tu peux aussi.
Si tu vas sur la présentation de la guilde sur le forum du régiment perdu, tu verra que perso, j'ai fait un peu les deux au final.
Dans tout les cas, fais comme tu le sens tant que tu te fais plaisir. Si il y a du BG, ce sera ajouter dans ta note de membre sur TESo, (sous forme condensé évidemment.
je t'ajoute sur discord. tu peux me préciser ton @ sur TESO stp ?

Bienvenue

Mon @ sut TESO c'est ... *roulement de tambour* Tortuh et oui j'ai toujours le même ! ^^p

@Zakaraï : c'est justement en lisant le RP que tu avais posté sur le forum du Régiment Perdu que je me suis motivé à proposer ma candidature ici.
Je vais reprendre la base du BG de se perso. Je vais juste changer
son évolution je posterai à la suite d'ici.

Je t'ajoute sur TESO

Le vent d'ouest sur la Glénumbrie charriait des embruns froids quand dans cette après-midi d'Automne Guilhem Guilvenec poussa son premier cris. Son père était chasseur et sa mère avait la réputation de manier les arcanes bien qu'elle était plus connue pour ses enchantements. A eux trois ils étaient une famille unie et heureuse, du moins le temps de son enfance. Un période où Guilhem apprit à observer l'oeuvre de Kynareth et les prodiges de Julianos. Seul compter ce qu'il pouvait sentir ou ce qui ce cachait derrière. Pourquoi le feu né de l'éclair quand il frappe l'arbre ou pourquoi le loup et lapin s'abreuvent aux même sources d'eau sans crainte que l'un chasse l'autre ? Telles étaient les questions de son enfance.
Seulement toute période a une fin et celle-ci fut cruelle. La guerre, les brigands ou le sorciers noirs, il n'était nul besoin de compter les causes possible au désastre mais c'est la dernière qui eut raison de ses parents.
Sa mère ancienne membre de la guilde des mages de Daguefillante, ne pu se résoudre à laisser des nécromans pratiquaient leur magie impie mais les mages noir n'étaient que des exécutants. Par vengeance leur chef alla jusqu'à la chaumière familiale massacrer sa famille. Guihelm n'assista pas à la scène et ne pu que constater à quel point ses parents s'étaient rendu non sans se battre. Un tel combat a fait du bruit s'était-il dit et il avait raison mais personne au village voisin n'intervint pas peur légitime ou par couardise. Qu'importe, le mal était fait, ses pleures inconsolables.
Lui qui avait vécu entre nature et livre s'enferma un peu plus. Sa haine contre l'oeuvre noire grandissait, couvée par sa douleur. Sa vie de jeune adulte n'était que bibliothèque ou ermitage. Il ne pouvait faire confiance en l'homme, quel qu'il soit. Sinon ses parents seraient encore vivants. Mais il ne pouvait laisser l'homme être perverti, corrompu et devenir l'instrument de la destruction du monde sans agir. Il leur devait.
Après l’avènement des ancres d'Oblivion il fut, comme beaucoup, enlevé et dépouillé de son âme au Havreglace. Comme peu il en ressortit, meurtri, mais avec la ferme attention d'agir envers contre tous. Il suivit alors l'exemple de sa mère et joignit la guilde des mages mais celle-ci prisonnière de sa neutralité hésitait trop souvent à agir de peur d'être accusée de favoriser telle ou telle partie. Guihelm chercha alors un groupe capable d'intervenir et aussi le moyen d'augmenter sa fortune, condition nécessaire à une guerre contre l'Oblivion. Il entendit parler d'un groupe de mercenaires qui siégeait à Fendretour. Après un long périple durant lequel il peut venir en aide contre le Ver, il atteignit l'auberge qui servait de lieux de rassemblement du Régiment Perdu.
Sa vie au régiment avait été animée par la violence et la confrontation avec le monde des deadras. Il n'affrontait pas que les deadra, il avait été amené à travailler pour eux. Le pire fut l'histoire du Puits de Magie. Une armure capable d’emmagasiner tout type de magie pour augmenter son propre pouvoir. Un serviteur du prince de la manigance s'en était servi contre les mages de la guilde dans tout Haute roche et même en Alik'r. Guilhelm avait perdu des amis et la guilde l'avait chargé de détruire l'artefact mais alors qu'avec le Régiment, ils avaient enfin vaincu le porteur de l'artefact, l'ancienne commandante du régiment s'est emparée de l'armure et s'est enfuie dans un portail.
Ce fut l'événement de trop. Trop de fois il avait dû agir au sein du régiment à l'opposé de ces convictions et de ses devoirs de mage de la guilde. Depuis le temps avait passé, il avait accompli de grandes choses et gagné le respect et le rang d'Adepte au sein de la Guilde de Magie. Il défendait le Vert en Bangkoraï et combattait le Ver partout où il se manifestait. Mais ayant eu vent de la légende des cinq compagnons et de la raison de la Coalescence avec Oblivion Il fit alors le raisonnement que beaucoup furent. Seul un héritier de sang possesseur de l'Amulette des Rois pourrait y mettre fin.

 
 
 

Guihelm se laisse guidé par le Grand maître de l'ordre et soupir satisfait de l'entendre parler ainsi.

"Je suis honoré d'être accepté parmi vous. Puisse la lumière ne jamais faiblir."